La plus ancienne monnaie connue — au sens actuel du terme — fut créée par le roi de Lydie Gygès en 687 avant J.-C. Très tôt dans l’Histoire de l’humanité, les humains ont dû créer des moyens d’échange pour établir des commerces, donner de la valeur à leurs possessions, pouvoir les estimer et s’en servir comme unité de mesure, et commencer à créer ainsi des formes de sociétés. Chaque humain n’ayant pas les mêmes dons, les mêmes capacités et les mêmes talents, les systèmes d’échanges ont toujours été présents dans l’histoire de l’humanité, qu’ils soient sous forme de troc ou plus tard sous forme de monnaie réelle (en poids de minéraux tels que l’or ou l’argent, ou plus tard ensuite en monnaie électronique, pièces de monnaie avec valeur inscrite dessus ou billets). Le troc ayant rapidement montré ses limites (pas toujours évident de trouver quelqu’un qui veuille échanger la chose que nous proposons avec la chose que nous désirons, et qui aurait en plus la même valeur), la société a évolué vers la monnaie qui permettait ainsi aux humains de pouvoir transformer leurs biens en monnaie et ainsi de pouvoir aller ensuite acheter ce dont ils avaient besoin avec cet argent. C’est toujours le cas aujourd’hui : avec l’argent nous sommes rémunérés de notre travail, et de nos biens que nous vendons. Avec cette transformation résultant sous forme de « monnaie », nous sommes libres ensuite d’aller en faire ce que nous souhaitons. Nous pouvons donc dire que la monnaie, dans un sens, par rapport au troc, rend plus « libre » l’humain.
Mais
de l’autre, nous connaissons tous bien évidemment toutes les déviations
que l’arrivée de l’argent (et de la course à l’or) a fait et fait
encore connaître à l’humanité. L’argent comme unique but de vie ne peut
être quelque chose de valable ni même d’intelligent puisque nous
n’emmenons rien de matériel après notre mort. Nos squelettes et nos
pièces (aujourd’hui billets ou comptes en banque) resteront ici et si la
poursuite de l’argent a été notre seul but, dans un objectif purement
égoïste, alors nous subirons les conséquences de cet aveuglement et de
cette avidité, car dans l’univers tout est régit sur la base de notre
vibration et fréquence vibratoire, ainsi que de notre niveau de
conscience. Une âme qui est prête à tuer, mentir, manipuler, ou qui est
avide de pouvoir ou avare et égoïste, est forcément à un niveau de
conscience encore non assez « élevé » pour qu’elle soit consciente que
le mal qu’elle créé à autrui, elle se le fait à elle-même, pour être
dotée d’empathie, d’altruisme, de générosité. Toutes ces qualités
représentent ce qu’est et sera un Humain Conscient : conscient de sa
réelle nature multidimensionnelle, mais pas seulement (car nous pouvons
avoir conscience de notre nature multidimensionnelle sans pour autant
être capable de ressentir de l’empathie pour tout ce qui nous entoure),
et connecté émotionnellement à tout ce qui l’entoure, via son coeur.
Vestiges de la civilisation Atlante éteinte par un submergement par l’eau.
Certaines civilisations dans le passé étaient par exemple en effet très développées au niveau de leurs connaissances et technologies, mais étaient pourtant capables de commettre des actes qui ne seraient pas acceptables aujourd’hui ou qui ont mené à la destruction de leur civilisation. La connaissance dans les mains d’un Homme non connecté à son coeur devient dangereuse, car la connaissance et la technologie sans conscience peuvent détruire. C’est d’ailleurs ainsi que de certaines anciennes civilisations qui ont précédé la nôtre se sont éteintes : leur technologie a dépassé leur avancée spirituelle et ils se sont auto-détruits. (Si vous souhaitez approfondir sur le sujet, vous pouvez faire des recherches sur la civilisation Atlante par exemple). La civilisation humanoïde actuelle est la 7ème ayant existé sur la planète Terre, les 6 précédentes n’ont pas survécu et se sont auto-détruites.
Aujourd’hui, la NASA elle-même affirme que notre civilisation actuelle est en voie d’extinction : nous courons le risque d’une nouvelle extinction de masse de notre civilisation. L’origine de toutes les précédentes extinctions de civilisations a toujours été la même :
-
une exploitation excessive des ressources de la planète
-
un creusement des inégalités entre les plus riches et les plus pauvres de la société.
Et
pourtant, l’humain continue les mêmes erreurs. Il détruit la planète
sur laquelle il vit et épuise toutes ses ressources vitales, sans quoi
il ne peut pourtant survivre, et près de la moitié des richesses du
monde entier est détenue par 1% de la population. « L’élite », qui est à
la tête du système financier, bancaire, pharmaceutique, politique,
agro-alimentaire, médiatique – contrôle tout le reste de la population.
Les taxes et impôts augmentent sans cesse et c’est le dernier maillon de
la chaîne, le consommateur et le travailleur salarié ou petit chef
d’entreprise qui en subit les conséquences. Aujourd’hui, on ne choisit
pas son pays d’habitation par rapport à son amour pour lui, sa beauté ou
son alignement vibratoire avec l’endroit en question, mais par rapport
aux niveaux de taxation et niveaux de vie, au prix des loyers, et aux
salaires proposés. Aujourd’hui, on ne choisit pas un travail selon nos
aptitudes innées et appel intérieurs et selon nos passions et missions
de vie de nos âmes, mais en fonction des « débouchés », du nombre de
RTT, du statut que ce travail nous fera obtenir, et de son salaire.
A cause de l’extrême pauvreté qui mène à l’ignorance et à la violence (dûes à l’absence d’éducation par manque de moyens dans les pays concernés) qui sévit dans certaines régions du monde, certains, pour l’argent, volent, tuent, violent, ou font du trafic de femmes, d’enfants ou d’animaux. La frustration du manque d’argent donne naissance également chez certaines personnes au désir de l’opposé mais dans l’extrême à nouveau, et au lieu que l’argent soit resté un moyen, ils en sont devenus esclaves et auront passé leur vie à le rechercher, à l’accumuler et à ne penser qu’à lui jusqu’à parfois en devenir fous ou criminels. Tout le monde connait le célèbre dicton : « l’argent ne fait pas le bonheur » (auquel certains ont rajouté : « mais il y contribue », ce qui est vrai). Je dirai même plus : l’argent, ne peut faire le bonheur que s’il contribue à faire le bien également autour de soi. L’argent n’est ni positif ni négatif, il est neutre : il est comme une page blanche, il est ce que nous décidons d’en faire. Le problème est encore une fois la redistribution de ces richesses, sa répartition, et l’intention de celui qui les possède.
Il faut comprendre que les religieux DOIVENT faire « voeu de pauvreté »
De l’autre côté, depuis l’arrivée des religions, des premiers prophètes qui se sont incarnés pour éveiller les humains à d’autres valeurs plus spirituelles, l’argent a commencé à être vu comme « mal ». Les humains sont les rois pour détourner les messages profonds des grands maîtres qui sont venus sur Terre et tombent très facilement dans des endoctrinements que d’autres humains ont créé, qui n’ont plus rien à voir avec les messages originaux des prophètes et maîtres ayant transmis, selon les niveaux de conscience de l’époque, les messages dont ils avaient besoin, à ce moment T dans l’histoire de l’humanité. Lorsque l’on y réfléchit bien, l’argent dans les mains de personnes conscientes et altruistes uniquement ne pourrait être source de « mal », le problème ne vient donc pas de l’argent en lui-même encore une fois, mais des mains dans lesquelles il se trouve…
Les communautés religieuses de toutes sortes ont commencé à perpétuer l’idée que l’argent était « sale » et qu’une vie en accord avec « Dieu » devrait être une vie pauvre matériellement, dans l’abnégation et le sacrifice le plus total, et que tout désir de quoique ce soit de matériel serait « pêché ». Les prophètes en question, n’étant plus là pour contredire ces croyances, plus de 2000 ans après, certains humains continuent à vouloir perpétuer ces idées; alors que si par exemple Jesus Christ revenait aujourd’hui, en l’an 2015, il mettrait certainement à jour la Bible, adaptée à l’époque actuelle. Il aurait bien conscience qu’en 2015 on doit payer un loyer, payer ses factures, payer pour prendre l’avion, pour voyager, payer pour manger, pour s’habiller, pour se soigner, pour soigner et nourrir ses animaux, pour éduquer ses enfants, et il ne lui viendrait jamais à l’esprit de prôner la pauvreté à qui que ce soit. Il insisterait certainement toujours sur le fait que nous ne sommes pas que ce corps physique et que le matériel n’est pas uniquement ce qui nous constitue (même si toute chose « matérielle » est forcément née d’une idée et donc est par essence, elle aussi, « spirituelle » et provenant de « l’invisible »), que nous sommes tous des êtres divins et multimensionnels, existant parallèlement dans diverses réalités et dimensions; mais il serait, je pense, le premier à dire que dans cette réalité de 3ème dimension de l’année 2015 sur la planète Terre, il faut de l’argent pour vivre, et donc que de ne pas en avoir est forcément source de frustration, de problèmes, d’incapacité à réaliser certaines choses, et donc de conflits internes et externes. Il serait peut être aussi, tout comme je le suis, confus de voir la répartition actuelle des richesses, et se demanderait pourquoi toutes les personnes conscientes et spirituelles s’interdisent l’abondance et laissent l’argent dans les mains de ceux qui peuvent le moins diriger un pays et gérer le moins bien les ressources de leur planète. Il se demanderait peut-être pourquoi les footballeurs gagnent des millions de fois plus qu’un énergéticien qui sauve des vies, et pourquoi tout le monde trouve cela normal. Il se demanderait peut être aussi tout comme moi, pourquoi ceux qui font le bien n’ont pas le droit d’être payés et ceux qui font le mal ou ceux qui ne font ni l’un ni l’autre (les « tièdes », comme il les appelle dans la Bible, en disant qu’il « vomit les tièdes », car il ne supportait pas ceux qui ne prenaient pas parti), eux, oui.
Comme le dit si bien l’auteur du livre « Conversations avec Dieu« , Neale Donald Walsh, qui a reçu en canalisation par une voix qu’il appelle « Dieu », des conversations qu’il a ensuite retranscrites en livres sur 3 tomes :
« Tu entretiens la pensée que l’argent est mauvais. Tu entretiens également la pensée que Dieu est bon. Par conséquent. dans ton système de pensée, Dieu et l’argent ne font pas bon ménage.
Ce qui rend les choses intéressantes, c’est que tu peux difficilement considérer l’argent comme une bonne chose.
C’est-à-dire que si tu trouves qu’une chose est très « bonne », tu lui accordes une valeur moindre en termes monétaires. Alors, « meilleure » elle est (c’est-à-dire plus grande est sa valeur), moins elle vaut en termes d’argent.
Tu n’es pas le seul dans ce cas, toute ta société entretient cette croyance. Par conséquent, vos enseignants reçoivent un salaire dérisoire et les strip-teaseuses, une fortune. Vos leaders font si peu, en comparaison des vedettes du sport, qu’ils se croient obligés de voler pour compenser la différence. Vos prêtres et vos rabbins vivent de pain et d’eau alors que vous lancez de l’argent aux vedettes du spectacle.
Penses-y, si tu accordes à une chose une valeur intrinsèque élevée, tu insistes pour qu’elle soit bon marché. Le chercheur scientifique solitaire qui cherche un remède au sida quémande sans cesse de l’argent, tandis que la femme qui écrit un livre sur les cent nouvelles façons de faire l’amour et produit des cassettes et des séminaires de fins de semaine pour l’accompagner… récolte une fortune.
Cette façon de penser contradictoire est une propension que vous avez; elle vient d’une idée fausse.
Cette idée fausse, c’est celle que vous entretenez sur l’argent. Vous aimez l’argent, mais vous dites que c’est la racine de tout mal. Vous l’adorez, mais vous l’appelez « fric ». Vous dites qu’une personne est « salement riche ». Et si une personne devient vraiment riche en faisant de « bonnes » choses, elle devient immédiatement suspecte. Vous dites que c’est « mauvais ».
Ainsi, un médecin ne doit pas gagner trop d’argent, à moins d’apprendre à être discret sur ce point. Et un pasteur – holà! Il vaut vraiment mieux qu’il ou elle ne gagne pas beaucoup d’argent (en prenant pour acquis que vous laisseriez une femme être pasteur), sinon, il ou elle aura à coup sûr des problèmes.
Tu vois, dans ton esprit, une personne qui choisit la vocation la plus élevée doit être la moins bien payée…
Rappelle-toi, les pensées sont créatrices. Alors, si tu crois que l’argent est mauvais mais que tu te crois bon… et bien, tu peux voir le conflit.
Alors toi, en particulier, Mon fils, tu agis carrément en fonction de cette conscience collective. Pour la plupart des gens, le conflit n’est pas aussi énorme que pour toi. Comme la plupart des gens font des choses qu’ils détestent pour gagner leur vie, ils n’ont pas d’objection à recevoir de l’argent en retour. Un « mal » pour un « mal », pour ainsi dire. Mais toi, tu aimes ce que tu fais de ta vie. Tu adores les activités dont tu la remplis à craquer.
Donc, le fait de recevoir de grosses sommes d’argent en échange de tes services serait, dans ton système de pensée, recevoir un « mal » pour un « bien » et c’est inacceptable à tes yeux. Tu préférerais crever de faim plutôt que de recevoir du « fric » pour un pur service… comme si, d’une certaine façon, le service perdait sa pureté si tu recevais de l’argent en échange.
On obtient alors cette véritable ambivalence à propos de l’argent. Une part de toi le rejette et une part de toi a du ressentiment de ne pas en avoir. L ‘univers ne sait pas quoi faire de cela, car il a reçu deux pensées différentes de ta part. C’est pourquoi ta vie, en ce qui concerne l’argent, connaît des hauts et des bas, car tu vas de haut en bas à propos de l’argent.
Ton point de vue n’est pas clair; tu n’es pas vraiment certain de ce qui est vrai pour toi. Et l’univers n’est qu’une grande photocopieuse; elle ne produit que des copies multiples de tes pensées.
Par conséquent, il n’y a qu’une façon de changer tout cela : tu dois changer l’idée que tu t’en fais. » (Extrait de Conversations avec Dieu – Vous pouvez lire l’article entier dont il est extrait ici).
Ces vieilles et fausses croyances perdurent encore au sein des communautés religieuses mais aussi dans la plupart des communautés spirituelles, ce qui est très dangereux, et je vais maintenant vous expliquer pourquoi.
Notre
civilisation actuelle est en train de vivre un éveil spirituel à grande
échelle, jamais connu dans toute son histoire. De plus en plus
d’humains s’éveillent et se reconnectent à leur vraie nature, à leur moi
profond, à leur âme et cela débouche la plupart du temps sur une crise
existentielle et un appel profond intérieur à se réaliser, avec le
sentiment d’avoir une « mission » à accomplir sur Terre.
Cela ne peut être ni un « hasard » ni un « effet de mode » comme certains qui ne ressentent pas ces symptômes aiment penser (lire ici l’article sur les 21 symptômes de l’éveil spirituel),
pour éviter d’avoir à remettre en question leurs croyances profondes,
car c’est tout leur petit monde qui s’écroulerait. Il se passe des
choses sur Terre actuellement qui bouleversent et impactent notre
univers tout entier, et certains humains ont parfaitement conscience de
ce qu’il se passe, de pourquoi ils sont ici, et de ce qu’ils sont venus
pour accomplir sur cette Terre. Beaucoup de consciences se sont
incarnées pour stopper l’autodestruction de l’être humain, sauver la
planète et construire l’humanité de demain, raison pour laquelle ces
personnes se sentent tellement « différentes » depuis petites, voire
« extra-terrestres » (lire ici les caractéristiques des enfants Indigo pour en savoir plus, qui sont justement une des catégories de ces âmes ayant décidé de s’incarner sur Terre dans cette optique).
Mais pour réaliser ces missions de vie, toutes ces âmes ont besoin de moyens. On ne peut pas lutter contre un système où 1% de la population détient la moitié des richesses de la planète, sans moyens.
Ces âmes volontaires ont toutes les solutions pour détruire le système corrompu en place et en construire un nouveau (puisqu’elles ont travaillé dans cette optique avant leur incarnation pour leur mission) et voilà comment ceux qui persistent dans ces croyances limitantes à propos de l’argent FREINENT ces âmes et les EMPÊCHENT de réaliser leurs missions de vie !
Ils pensent être « plus nobles » en détestant l’argent et en vivant dans la pauvreté, mais ce qu’ils ne comprennent pas, c’est qu’ils participent sans même le réaliser au fait que les systèmes corrompus puissent continuer à exister, ainsi que l’asservissement des êtres humains, ce que l’élite désire, en empêchant ceux qui pourraient agir, d’agir. Ainsi, ils pensent être « avec Dieu » / être « spirituel » / être « nobles de coeur » / être « humbles » / quand en fait ils contribuent à faire que la noirceur puisse continuer d’exister dans cette proportion, privant « l’autre côté » de pouvoir prendre de l’ampleur.
Notre
monde changera réellement lorsque le « pouvoir » sera remis dans les
mains des personnes conscientes, et non dans celles de ceux qui n’ont
que leurs intérêts en tête. Mettez des milliards dans les mains d’un
Homme conscient et au grand coeur et vous verrez ce qu’il en fera. Ne
devrions-nous pas au contraire, souhaiter que tous ceux qui sont
conscients et altruistes, soient milliardaires ? Personnellement, depuis
toujours, chaque fois que j’ai croisé un individu que je ressentais
comme « bon », j’ai ressenti un profond bonheur chaque fois que j’étais
témoin d’une quelconque abondance matérielle influant en son sens. Je me
disais intérieurement : C’est magnifique, non seulement il le mérite,
car ce n’est que le résultat de « qui il est », de son travail et de sa
façon de penser, et en plus, je sais qu’il en fera de belles choses, et
pour lui-même et pour les autres.
Bien sûr qu’il existe des personnes magnifiques et qui sont pauvres. Le monde en est même rempli. Bien sûr qu’il existe des personnes qui se satisfont de rien et dont c’est le choix. Et c’est tout aussi juste, si tel est leur choix. Ces personnes ont leur propre expérience et leçons de vie / missions de vie à accomplir, car chaque âme qui s’incarne sait parfaitement ce qu’elle fait, au moment T et à l’endroit où elle s’incarne. Mais cela ne peut être l’unique façon de vivre. Et ces cas sont rares, en effet, la plupart des personnes se privant de l’abondance financière, sont dans la vibration de la frustration, du ressentiment, car il est tout bonnement impossible de vivre totalement libres, sans argent, dans nos sociétés actuelles. La personne qui souhaite vivre sans argent devra donc être dépendante forcément de quelqu’un ou de quelque chose pour réaliser quoi que ce soit.
Le maître Omraam Mikhaël Aivanhov en parlait très bien aussi :
« Qui peut nier que l’argent soit une des principales préoccupations des humains ? D’un côté, c’est naturel, car il leur procure leurs moyens de subsistance, mais le danger, c’est que cette pensée de l’argent finisse par les obnubiler : ils ne voient plus les bonnes qualités des autres, ils deviennent exigeants, durs, cruels. Faire des profits, voilà uniquement ce qui compte.
Mais être absolument indifférent à l’argent n’est pas bon non plus. Tous ceux qui croient que pour être des spiritualistes il faut vivre sans aucune préoccupation matérielle, deviennent en réalité des fardeaux pour la société, des parasites. Tant que nous sommes sur la terre et que les choses sont organisées comme elles le sont, on a besoin d’argent. Peut-être que dans l’avenir on pourra le supprimer et le remplacer par l’amour ; oui, car l’amour est une monnaie qui dépasse toutes les autres. Mais l’humanité n’est pas encore arrivée à accepter cette monnaie, et puisque l’argent aura encore cours un certain temps, il faut apprendre à penser correctement à son sujet afin de ne jamais tomber dans ses pièges. »
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